Glenn MILLER | In the mood

Inscription à la lettre d'information

( Cochez la case )

J'accepte de recevoir des informations et offres promotionnelles
de la part de Dreyfus Music à cette adresse e-mail :

email

Conformément à la loi « informatique et Libertés » du 6 janvier; 1978, je dispose d'un droit d'opposition aux informations me concernant qui peut s'exercer à tout moment auprès de Dreyfus Music, par le biais du lien de désabonnement visible en bas de chaque newsletter. Seule notre société est destinataire de cet email.

image In the mood
  • label Dreyfus Jazz

Glenn MILLER

In the mood

Il avait eu, au début de sa carrière, l’excellente idée de faire savoir qu’il n’ambitionnait pas de diriger un orchestre de jazz, mais plutôt de gagner beaucoup d’argent. Et c’est ainsi qu’il fit fortune, à la tête d’un orchestre qu’on dira «de danse».


Tromboniste né en 1904, Alton Glenn Miller entreprit sans succès de fonder un orchestre en 1937, remit le couvert en 1938 pour ne plus, à partir de 1940, connaître qu’un succès qui, avec la guerre, devint planétaire. À presque 41 ans, le 16 décembre 1944, il allait disparaître dans un accident d’avion entre Londres et Paris où l’attendait son orchestre. Il portait alors le grade de Major et dirigeait «The Army Air Forces Band», installé en Angleterre, sans doute son meilleur orchestre.


Cependant, le groupement de Glenn Miller qui collectionna les médailles et fit sa gloire fut celui qui avait gravé les faces immortelles que demeurent Moonlight Serenade, avec la marque de fabrique millérienne, la clarinette au milieu des saxophones et In The Mood, aujourd’hui dans la mémoire collective. Cet orchestre «civil » se fit connaître grâce à des émissions de radio diffusées depuis le Glen Island Casino au cours de l’été 1939. Il tourna intensément jusqu’à l’engagement de Miller dans l’armée en septembre 1942. Dans ses rangs figuraient quelques solistes dont il faut se souvenir : le cornettiste magnifique Bobby Hackett, les saxophonistes ténor Al Klink et Tex Beneke, le trompettiste Clyde Hurley, le clarinettiste Wilbur Schwartz, et, partout, de 39 à 42, le batteur Maurice Purtill.


Un mot enfin sur les arrangeurs, rouages indispensables à un big band qui tourne rond, Jerry Gray en tout premier, et Bill Finegan qui «millérise» le Rug Cutter’s Swing d’Horace Henderson avec grand talent.

 

  • 1.Adios02:55 (E. Madriguera¬ªE. Wood)

  • puce2.In the mood03:34 (J. Garland)

  • puce3.Moonlight serenade03:23 (Glenn Miller)

  • 4.Pennsylvania 6-50003:15 (Jerry Gray)

  • 5.Frenesi03:27 (A. Dominguez¬ªB. Russell¬ªR. Charles)

  • 6.Little brown jug02:53 (J.E. Winner)

  • 7.Perfidia03:00 (Alberto Dominguez¬ªMilton Leed)

  • 8.Tuxedo junction03:26 (Erskine Hawkins¬ªJulian Dash - William Johnson¬ªBuddy Feyne)

  • 9.Farewell blues02:58 (Elmer Schoebel¬ªPaul Mares¬ªLeon Rappolo)

  • puce10.Here we go again03:42 (J. Savitt)

  • 11.I know why02:58

  • 12.Chattanooga choo-choo04:41

  • 13.Rug cutter's swing02:59

  • 14.The nearness of you03:12

  • puce15.At last03:04

  • 16.A string of pearls03:12

  • 17.Blues in my heart01:50

  • 18.Tail-end Charlie03:11

  • 19.Poinciana04:45

  • 20.American patrol03:25

Glenn Miller

Réalisation Suite303 / KurTZdev